Tout n’est pas fini et ce que j’ai pu faire, je l’ai fait pour ne pas toujours errer à travers les chemins qu’ont pris les autres. Il ne me reste rien des ombres que je n’ai pu su retenir entre mes mains. Il n’y a eu que la nuit pour me donner des moyens à travers certains passages. Et les arbres devant moi m’apparaissaient grands. Eux aussi me protègeaient.
Et j’ai eu peur tellement peur. Mais pas assez peur de l’inconnu.
De mes errances j’ai pu laisser apparître ce qui est devenu avec le temps une différence.
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